samedi 19 octobre 2013

La foule - Que nadie sepa mi surfrir(Amor de mis amores)

Le succès international "Que nadie sepa mi surfrir" à l'origine composée par Angel Cabral de l'Argentine en 1936, avec des paroles de Enrique Dizeo dans valse péruvienne ou valse créole comme on l'appelle en Argentine. L'incident s'est produit en 1953, à l'occasion de la présentation à l'Opéra Théâtre à Buenos Aires, la chanteuse française Edith Piaf, qui écoute un enregistrement de Alberto Castillo bien que Hugo Lane a enregistré la chanson en 1936.
Cet interprète inoubliable entendu la valse et le prit dans son pays. De retour à Paris, a convoqué l'auteur Michel Rivgauche, qui a complètement changé les paroles et le titre, est né La foule, le mot français pour la foule. La transformation a connu un succès extraordinaire depuis qu'il a été publié en 1957.


La Foule- Edith Piaf

La Foule- Patricia Kaas


Lirics.
Je revois la ville en fête et en délire
Suffoquant sous le soleil et sous la joie
Et j'entends dans la musique les cris, les rires
Qui éclatent et rebondissent autour de moi
Et perdue parmi ces gens qui me bousculent
Étourdie, désemparée, je reste là
Quand soudain, je me retourne, il se recule,
Et la foule vient me jeter entre ses bras...
Emportés par la foule qui nous traîne
Nous entraîne
Écrasés l'un contre l'autre
Nous ne formons qu'un seul corps
Et le flot sans effort
Nous pousse, enchaînés l'un et l'autre
Et nous laisse tous deux
Épanouis, enivrés et heureux.
Entraînés par la foule qui s'élance
Et qui danse
Une folle farandole
Nos deux mains restent soudées
Et parfois soulevés
Nos deux corps enlacés s'envolent
Et retombent tous deux
Épanouis, enivrés et heureux...
Et la joie éclaboussée par son sourire
Me transperce et rejaillit au fond de moi
Mais soudain je pousse un cri parmi les rires
Quand la foule vient l'arracher d'entre mes bras...
Emportés par la foule qui nous traîne
Nous entraîne
Nous éloigne l'un de l'autre
Je lutte et je me débats
Mais le son de sa voix
S'étouffe dans les rires des autres
Et je crie de douleur, de fureur et de rage
Et je pleure...
Entraînée par la foule qui s'élance
Et qui danse
Une folle farandole
Je suis emportée au loin
Et je crispe mes poings, maudissant la foule qui me vole
L'homme qu'elle m'avait donné
Et que je n'ai jamais retrouvé...

La chanson a également été enregistrée sous le titre "Amor de mis amores".
Pour la version de Sonora de Margarita cliquez ici.

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